Pour sa 40e édition, Art Brussels a connu un départ lent, même si les affaires ont bien démarré pour certaines galeries, en attendant le week-end.

L’universitaire prendra les rênes du grand musée de Bruxelles le 1er juillet 2024.

Sous la houlette de Lula et de sa ministre de la Culture, les restaurateurs mettent les bouchées doubles pour remettre en place le patrimoine moderniste saccagé par les émeutiers bolsonaristes.

L’œuvre a fait partie de toiles réalisées pour le Salon des Tuileries de 1938. Sa restauration in situ est visible par les visiteurs.

L’histoire d’Art Brussels est bien plus longue que celle des quarante éditions fêtées cette année, puisque cette manifestation existe depuis cinquante-cinq ans maintenant. Elle a été créée en 1968 et se dénommait alors Foire d’Art Actuel. Retour sur un riche passé.

La Foire belge d’art contemporain célèbre sa 40e édition en internationalisant et en améliorant son offre.

Alors que s’ouvre à Bruxelles la 40e édition de la Foire Art Brussels, état des lieux d’un pays aux collectionneurs très convoités.

L’artiste prend littéralement possession de ce nouveau lieu en lui insufflant, avec la force suggestive qu’on lui connaît, l’esprit de son travail.

Alors que s’ouvre à Bruxelles la 40e édition de la Foire Art Brussels, état des lieux d’un pays aux collectionneurs très convoités.

La 11e édition de ce rendez-vous de printemps dédié à l’art tribal ancien réunit 42 enseignes, en partie étrangères. L’occasion de faire dialoguer des marchands et des objets en dehors des sentiers battus.

L’enseigne internationale présentera dans ses espaces des expositions d’œuvres du sculpteur britannique à partir de l’automne prochain.

Pourvue d’une estimation réservée aux très gros portefeuilles, la nature morte du XVIIIe siècle était dans la famille Rothschild depuis un siècle et demi.

Peuples autochtones, artistes queers, diasporas, migrants : les Giardini donnent plus que jamais la parole aux minorités.

L’exposition de cette 60e Biennale de Venise met un point d’honneur à montrer des artistes rarement sous les projecteurs. Si la promesse de découvertes est tenue, peu de révélations s’imposent sur le plan formel.

Julien Creuzet livre un portrait imaginaire de la Martinique pour évoquer le Pavillon français, opéré par l’Institut français, à la 60e Biennale de Venise.

Le conservateur brésilien, directeur du Museu de Arte de São Paulo Assis Chateaubriand (MASP), est le commissaire de la Biennale de Venise 2024, qui ouvre au public cette semaine. Son exposition « Stranieri Ovunque – Foreigners Everywhere » met en lumière les artistes du Sud Global.

Avec l’exposition « Signal », le Palais de Tokyo présente l’œuvre d’un artiste qui n’avait pas été montré récemment à Paris avec cette ampleur. Une (re)découverte.

Le Centre Pompidou-Metz livre une vision singulière de l’œuvre du psychiatre et psychanalyste à travers des œuvres d’art anciennes et contemporaines.

D’Ostende, sa ville natale, à Bruxelles, où il étudie l’art, en passant par Anvers, dont le musée royal des Beaux-Arts possède le plus large ensemble de ses œuvres, la Belgique célèbre James Ensor, l’un de ses peintres les plus importants.

L’artiste allemand, né en 1950, présente des œuvres réalisées spécifiquement pour le musée de l’Orangerie, à Paris, en dialogue avec les « Nymphéas » de Claude Monet.

À 80 ans, le « jardinier planétaire » développe encore des projets sur le terrain, couche régulièrement ses idées sur le papier et n’a toujours pas sa langue dans sa poche. Rencontre.

Le Centre Pompidou, à Paris, propose une admirable conversation en images entre la collection publique de photographies du musée national d’Art moderne et celle, privée, du réalisateur, producteur et fondateur des salles de cinéma MK2. L’occasion de revenir sur son parcours, ses rencontres, l’évolution de son regard.

La galerie Templon, à Paris, expose « Eveningside », la dernière série du photographe américain, passé maître dans la mise en scène du mystère. L’occasion de revenir sur son parcours, son modus operandi, et son univers.

Loin d’être un « architecte de papier », Shigeru Ban s’est fait connaître pour son usage du matériau. Couronné en 2014 du Pritzker Prize, il se confie à l’occasion de la sortie de son livre Timber in Architecture.

Le Bec en l’air sort un très beau livre de nature du photographe belge, récompensé par le prix Nadar Gens d’images 2023.

Le célèbre roman médiéval japonais est réédité par les Éditions Diane de Selliers, en regard des peintures qu’il n’a cessé d’inspirer dès le XIIe siècle.

Chez Hazan, une luxueuse édition limitée célèbre l’artiste japonais, son œuvre et son talent.

Onze artistes contemporains évoluent aux côtés de l’auteur suisse au sein du musée parisien, pour commenter les collections et partager leurs questionnements.