Tandis que le 19 avril - vendredi saint - dans l’après-midi, un chemin de Croix présidé par l’archevêque de Paris, Monseigneur Aupetit, se déroulait sur les quais de la Seine, 67 personnes travaillaient dans l’édifice pour consolider le bâtiment et préserver d’autres trésors endommagés.
Afin de mettre la cathédrale à l’abri de l’eau, les ouvriers mettent actuellement en place d’une structure protectrice – un « grand parapluie », qui couvrira l’édifice par le dessus. L’échafaudage des travaux en cours au moment de l’incendie – 250 tonnes d’acier déployés autour de Notre Dame –, très abîmé, sera démonté, tandis que les pignons nord et ouest de la cathédrale ont été protégé par des poutres de bois en attendant le lancement de la restauration. Les tableaux des XVIIe et XVIIIe siècles sauvés du sinistre seront envoyés au musée du Louvre.