Larkin Erdmann (Zurich) propose un focus sur le Suisse Max Bill, que cette enseigne zurichoise présente depuis près de dix ans, Hauser & Wirth gérant l’estate depuis peu. Comptez 10 000 euros pour un dessin et jusqu’à 210 000 euros pour un grand format des années 1970.
La galerie luxembourgeoise Nosbaum Reding a réuni un ensemble de sculptures en bois de l’Allemand Stephan Balkenhol, dont le prix pour les moyens formats est de 54 000 francs suisses.
Catherine Issert, de Saint-Paul de Vence, consacre la moitié de son stand à des peintures tout en matière, des Paddle paintings de 2018 de John Armleder, qu’elle défend « depuis les années 1980 », confie-t-elle. Les prix démarrent à 63 200 euros H.T.
La galerie Gisèle Linder (Bâle) présente trois œuvres vidéo de la Suisse Ursula Palla autour de la lecture et du livre, avec certains qui tombent, et d’autres lus par des enfants. Ces éditions de trois vont de 2 800 francs suisses à 5 900 francs suisses.
La galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois (Paris) consacre un solo show à l’hyperréaliste américain Robert Cottingham, que l’enseigne parisienne remet depuis quelques mois à l’honneur.
La galerie Richard Saltoun, de Londres, consacre un espace aux œuvres sur papier de Greta Schödl, principalement des années 1970, réalisées à l’encre, au stylo et parfois rehaussées de fonds d’or. Prévoyez quelques milliers d’euros à 30 000 euros.
artgenève, Palexpo, Genève, jusqu’au 2 février.