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De Sharjah à São Paulo : notre sélection de biennales en 2023

Du dernier projet d’Okwui Enwezor avant sa disparition à la Biennale de Liverpool, inspirée par les peuples autochtones, un choix de quelques biennales phares pour cette nouvelle année.

Gareth Harris
4 janvier 2023
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Pipo Nguyen-Duy, Couple Walking Home, 2013. La 35e Biennale de Sharjah est présentée comme le dernier projet du défunt commissaire d’exposition Okwui Enwezor. Courtesy de l’artiste

Pipo Nguyen-Duy, Couple Walking Home, 2013. La 35e Biennale de Sharjah est présentée comme le dernier projet du défunt commissaire d’exposition Okwui Enwezor. Courtesy de l’artiste

Biennale de Sharjah 15, « Penser l’histoire au présent »

Du 7 février au 11 juin, divers lieux, Sharjah, Émirats arabes unis

Présentée comme le dernier projet d’Okwui Enwezor, la 15e Biennale de Sharjah a été conçue par le commissaire d’exposition star avant sa mort en 2019. « L’héritage d’Okwui, qui s’est fait le défenseur des questions postcoloniales, depuis son édition historique de la Documenta 11 à Cassel jusqu’à l’ensemble de son travail de commissaire d’exposition, est incomparable », déclare Hoor Al Qasimi, la co-commissaire de la biennale et directrice de la Sharjah Art Foundation. Pour marquer le 30e anniversaire de la biennale, Okwui Enwezor avait proposé de commander 30 œuvres. Plus de 300 pièces – dont justement 30 commandes passées à des artistes tels que Kader Attia, Sammy Baloji, Mona Hatoum, Hassan Hajjaj, Bouchra Khalili, Steve McQueen, Philippe Parreno ou Doris Salcedo – seront exposées dans 18 lieux de l’Émirat.

Regina Silveira, Dilatables (series), 1981/2020, édition 2021 de la Biennale de São Paulo. Photo : Philippe Régnier

35e Biennale de São Paulo, « Chorégraphies de l’impossible »

Du 6 septembre au 10 décembre, Pavillon Ciccillo Matarazzo, Brésil

La Biennale de São Paulo, l’une des plus importantes au monde, sera conçue par un collectif de commissaires composé de Manuel Borja-Villel, directeur du Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía de Madrid, de l’artiste et écrivaine de Berlin Grada Kilomba, de la commissaire indépendante Diane Lima et de l’anthropologue Hélio Menezes. Peu de détails ont pour l’instant filtré sur le contenu de la manifestation, mais, selon les commissaires, le titre « nous sert de fil conducteur pour penser aux pratiques poétiques et artistiques qui placent en leur centre le mouvement et le corps humain ». Le parcours réunira à la fois des œuvres existantes et de nouvelles productions.

David Aguacheiro, Plastic Life, 2020, la Biennale de Liverpool. Courtesy de l’artiste. Photo : Tina Krüger

Biennale de Liverpool 2023, « uMoya : le retour sacré des objets perdus »

Du 10 juin au 17 septembre, divers lieux, Liverpool, Royaume-Uni

Le commissaire de la 12e Biennale de Liverpool, l’artiste sud-africaine Khanyisile Mbongwa, se penche sur les « perpétuelles pertes du passé », en s’inspirant de moments douloureux de l’histoire tels que les « catastrophes causées par le colonialisme ». Dans la langue isiZulu d’Afrique du Sud, « uMoya » signifie esprit, souffle, air, climat et vent. « Cette biennale s’intéresse à ce à quoi pourrait ressembler l’avenir lorsqu’il est envisagé à travers des techniques et méthodes indigènes et anciennes », explique Khanyisile Mbongwa. Parmi les artistes figureront Torkwase Dyson et Antonio Obá.

John Gerrard, Western Flag, 2017, édition 2029 de Desert X. Photo : Lance Gerber

Desert X

Du 4 mars au 7 mai, Vallée de Coachella, Californie, États-Unis

Comment organiser une biennale centrée sur l’eau dans le désert californien ? Diana Campbell, la co-commissaire de la quatrième édition de Desert X, examine comment le paysage aride est formé par la « mémoire de l’eau », dit-elle, en faisant le lien avec son travail en cours au Bangladesh, un pays qui ressent déjà les effets du changement climatique. « Je suis amenée à établir des connexions "translocales" à partir d’environnements climatiques extrêmes, des sécheresses du désert californien aux inondations du Bangladesh », affirme-t-elle.

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