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MIRA Art Fair
Actualité

Six coups de cœur à la foire Mira

Le Salon dédié à la scène contemporaine latino-américaine organise jusqu’au dimanche 22 septembre sa première édition à la Maison de l’Amérique latine, à Paris. Il réunit galeries françaises (Mitterrand, Air de Paris…) et sud-américaines. En voici une sélection.

Alexandre Crochet
19 septembre 2024
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Au mur, tapisserie de Mercedes Azpilicueta de 2021, collection Cipe-Marseille. 

Vitrine : Sandra Gamarra, Museo del ostracismo, 2018, collection Famille Servais. 

Photo : D.R.

Au mur, tapisserie de Mercedes Azpilicueta de 2021, collection Cipe-Marseille.

Vitrine : Sandra Gamarra, Museo del ostracismo, 2018, collection Famille Servais.

Photo : D.R.

My Latest Crush is Latino

La commissaire Monica M. Bianca a sélectionné 22 œuvres de 16 artistes latino-américains issues de collections privées européennes (et pas à vendre !) et surtout françaises, pour donner l’exemple aux visiteurs du Salon. Dont cette œuvre de la Péruvienne Sandra Gamarra questionnant la muséographie autour de l’art précolombien.

Galerie Revolver

Axée sur les artistes péruviens et argentins, la galerie Revolver montre plusieurs pièces « historiques » selon son directeur, dont cette « peinture » en poudre de ciment et de marbre des années 1960. Proposée à 75 000 euros, elle est signée de l’artiste Jorge Eduardo Eielson (1924-2006), qui a participé dans les années 1970 à la Biennale de Venise et à la Documenta de Cassel.

Jorge Eduardo Eielson, Paesaggio infinito della Costa del Peru, 1961.

Photo : A.C.

Galerie Olivier Waltman

La Cubaine Cristina Escobar a conçu cette œuvre (édition 4 sur 5) en référence au « Printemps noir » de 2003 à La Havane : 75 mouchoirs évoquent les 75 intellectuels emprisonnés, avec leurs noms tapés à la machine à écrire, leur arme de combat.

Cristina Escobar, Solo Para llorar, 2024.

Photo : A.C.

Galerie Gathering

L’artiste Daniel de la Barra s’est inspiré de l’imagerie mussolinienne pour créer cette peinture à l’huile sur lin (10 000 euros) dénonçant les pratiques socialistes au Pérou dans les années 1960 destinées à glorifier les paysans.

Daniel de la Barra, La Vittoria del Grano, 2022.

Photo : A.C.

Galerie Albarrán Bourdais

La galerie franco-espagnole présente plusieurs petites peintures d’Ivan Argote (à 12 000 euros) autour des plantes invasives rapportées d’Amérique par les colons… et qui viennent à leur tour envahir l’Europe, dans un renversement de l’histoire.

Ivan Argote, Série Voyagers, 2024.

Photo A.C.

193 Gallery

La 193 Gallery a composé un stand mettant en avant entre autres cette œuvre géométrique de Valentina Canseco (née en 1985) à 6 800 euros (plusieurs pièces de l’artiste se sont récemment vendues à la galerie). D’origine brésilienne et chilienne, elle a notamment exposé au pavillon français à la Biennale d’architecture de Venise ou à la Fondation Villa Datris, à L’Isle-sur-la-Sorgue.

L'artiste Valentina Canseco devant son œuvre Matrice 10.1, 2024.

Photo : A.C.

Mira Art Fair, 18-22 septembre 2024, Maison de l'amérique latine, Paris.

MIRA Art FairParis193 GalleryGalerie Albarrán BourdaisGalerie GatheringGalerie Olivier WaltmanGalerie RevolverIn Time/In PlaceSandra GamarraJorge Eduardo EielsonDaniel de la BarraIván ArgoteValentina Canseco Cristina Escobar Marché de l'artFoires et salons
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