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À Leeds, le fascisme sculpte le surréalisme

À l'occasion du centenaire du surréalisme, le Henry Moore Institute met en avant à Leeds sept femmes artistes, dont les oeuvres dénoncent le fascisme.

Louane Lallemant
5 décembre 2024
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Bady Minck, La Belle est la Bête, 2005, photogramme.

© Bady Minck. Courtesy de sixpackfilm

Bady Minck, La Belle est la Bête, 2005, photogramme.

© Bady Minck. Courtesy de sixpackfilm

Pour le centenaire du surréalisme, le Henry Moore Institute expose sept femmes et leurs œuvres (datées des années 1960 à nos jours), rarement sinon jamais montrées au Royaume-Uni, parmi lesquelles Meret Oppenheim et Eva Wipf. Leurs sculptures, qui s’emparent des codes surréalistes pour établir une mémoire collective du fascisme, interpellent, dérangent même. À l’aide de fourrure et de plumes – inspirées en cela par le culte voué aux animaux de certains régimes dictatoriaux, les loups hitlériens par exemple –, ces artistes sculptent la matière animale pour dénoncer le « traitement des femmes par le patriarcat d’après-guerre et leurs traumatismes », selon les mots de la commissaire adjointe Patricia Allmer.

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« The Traumatic Surreal », 22 novembre 2024-16 mars 2025, Henry Moore Institute, 74 The Headrow, Leeds LS1 3AH, Royaume-Uni, henry-moore.org

ExpositionsHenry Moore InstituteMeret OppenheimSurréalismeSculpture
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