La Tate Modern propose à ses visiteurs l’une des plus importantes rétrospectives jamais consacrée à Nam June Paik, artiste visionnaire et pionnier des nouvelles technologies. L’exposition comprend plus de 200 œuvres et documents issus de différentes collections internationales. « Nam June Paik », jusqu’au 9 février, Tate Modern, Londres, Royaume-Uni.

Nam June Paik, TV Budha, sculpture en bois du XVIIIe siècle, télévision en circuit fermé, caméra. Photo : Tate Modern, Andrew Dunkley, 2019. © Stedelijk Museum, Amsterdam
À la Whitechapel Gallery, une exposition réalisée à partir des collections de la Fondation Caixa livre une vision inquiétante du futur. La manifestation réunit les œuvres de sept artistes essentiellement espagnols et mexicains, qui explorent la façon dont les événements du passé affectent l’avenir. « In the Eye of Bambi », jusqu’au 19 avril, Whitechapel Gallery, Londres, Royaume-Uni.

Victoria Civera, Bamby, 1997-1998, technique mixte sur toile. © DACS 2019
Le British Museum présente la collection singulière et éclectique du critique cinématographique Alexander Walker. Le parcours comprend plus de 200 œuvres d’artistes comme Picasso, Matisse et Lucian Freud. « Living with art. Picasso to Celmins », jusqu’au 5 mars, British Museum, Londres, Royaume-Uni.

David Hockney, Jungle Boy, 1964, eau-forte et aquatinte en noir et rouge sur papier moulé. Photo : Richard Schmidt. © David Hockney
La Royal Academy of Arts se penche sur l’impact de l’homme sur la planète vu par le cinéma, l’installation et la photographie. Une vingtaine d’artistes, dont Olafur Eliasson, Ant Farm et Andrés Jaque, tentent d’offrir des réponses concrètes aux problématiques du développement durable. « Eco-Visionaries. Confronting a planet in a state of emergency », jusqu’au 23 février, Royal Academy of Arts, Londres, Royaume-Uni.

Studio Malka Architecture, The Green Machine, 2014, projet d’architecture. © Studio Malka Architecture
Les Serpentine Galleries accueillent un ensemble de peintures d’Albert Oehlen de 1980 à aujourd’hui, telle la série John Graham Remix, où l’artiste revisite le portrait psychologique mâtiné de surréalisme. « Albert Oehlen », jusqu’au 2 février, Serpentine Galleries, Londres, Royaume-Uni.

Albert Oehlen, Sohn von Hundescheisse, 1999, huile sur toile, 278 cm x 359 cm. Photo : Archive de la Galerie Max Hetzler, Berlin et Paris. © Albert Oehlen
La Parasol Unit présentera à partir de jeudi la première exposition personnelle au Royaume-Uni de la Française Christine Rebet. La manifestation comprendra six films d’animation dessinée qui abordent les traumatismes au sein d’histoires personnelles ou collectives. « Christine Rebet : Time Levitation », du 23 janvier au 26 mars, Parasol Unit Fondation for contemporary art, Londres, Royaume-Uni.

Christine Rebet, Thunderbird, 2018, capture vidéo. © Christine Rebet & Bureau New York