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Homo eroticus à la galerie Sultana

La démonstration de style de Jean Claracq passe par une iconographie originale alliée à une maîtrise étourdissante des techniques.

Anaïs Hammoud
16 mars 2021
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Jean Claracq, Dikhotomia, 2021, huile sur bois, 90 x 130 cm. Courtesy galerie Sultana. Photo Romain Darnaud

Jean Claracq, Dikhotomia, 2021, huile sur bois, 90 x 130 cm. Courtesy galerie Sultana. Photo Romain Darnaud

Des scènes de fiction urbaines peintes selon les techniques des maîtres anciens flamands ; une iconographie chinée sur Instagram d’hommes tatoués, griffés et érotisés ; ou encore une composition de fragments visuels micro et macro qui, se désengageant de toute temporalité, confèrent au visiteur un sentiment d’omniscience – comme dans une série télévisée avec la voix off en fond sonore. La miniature de certaines toiles nous incite à engager le corps. Les points de vue choisis, alliés à la solitude de la plupart des sujets rappellent David Hockney ou Gerhard Richter. En somme, le talent de l’hyperréaliste Jean Claracq n’en finit pas de surprendre. Le décor du quartier de Belleville, où est située la galerie Sultana, ajoute au romanesque.

––

« by Jean Claracq », 13 février – 10 avril 2021, galerie Sultana, 10 rue Ramponeau, 75020 Paris

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