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Un nouveau chapitre pour la Biennale de Lyon

L'édito du 16 septembre 2019.

Philippe Régnier
15 septembre 2019
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Visuel de communication de la 15e Biennale de Lyon D.R.

Visuel de communication de la 15e Biennale de Lyon D.R.

La Biennale de Lyon, dont l’édition 2019 s’ouvre aux professionnels aujourd’hui et au public mercredi 18 septembre, est la plus importante manifestation de ce type en France. Mais alors qu’existent aujourd’hui environ cent cinquante événements similaires de par le monde – la Biennale d’Istanbul, dont le commissariat est cette année assuré par Nicolas Bourriaud, a été inaugurée la semaine dernière –, comment donner une singularité à l’exposition lyonnaise ? C’est l’une des questions auxquelles a dû répondre Thierry Raspail, cofondateur de la manifestation en 1991 et qui en fut l’ordonnateur jusqu’en 2018, même s’il lança l’édition 2019 avant que ne lui succède Isabelle Bertolotti en tant que directrice artistique. Pour donner de l’envergure mais aussi attirer un public international, il fut à plusieurs reprises fait appel à des figures étrangères emblématiques pour en assurer le commissariat, du mythique Harald Szeemann en 1997 au « uber-curator » Hans Ulrich Obrist en 2007, ou au directeur de la Hayward Gallery (Londres) Ralph Rugoff en 2015, quatre ans avant qu’il ne soit commissaire de la Biennale de Venise 2019. La Biennale de Lyon n’a pas non plus hésité à revenir à l’histoire – avec Kurt Schwitters convoqué par Marc Dachy en 1993 ou Hans Arp par Emma Lavigne en 1997 –, à s’intéresser à l’autre, de l’art brut – avec Harald Szeemann – aux cultures du monde – avec « Partage d’exotisme » de Jean-Hubert Martin en 2000. Toutes les éditions ont ainsi affiché une identité bien marquée, même si elles se sont inscrites dans des thématiques plus larges, comme les questions du temps ou de la modernité. L’édition 2019 n’est pas la première conçue par l’équipe du Palais de Tokyo – Jérôme Sans et Nicolas Bourriaud en ont été commissaires en 2005. Mais elle ouvre néanmoins un nouveau chapitre, avec une attention inédite portée à l’émergence et son installation dans un nouveau lieu emblématique – après la Halle Tony Garnier et la Sucrière –, les anciennes usines Fagor, « là où les eaux se mêlent »

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