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Critique

Les toiles fiévreuses de Nazanin Pouyandeh à la galerie Sator

Dans son espace de Komunuma, Vincent Sator présente un ensemble d’œuvres qui devaient être présentées à Art Paris et à Drawing Now Art Fair, et dans son espace du Marais, un accrochage monographique à Nazanin Pouyandeh.

Alexandre Crochet
2 juillet 2020
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Nazanin Pouyandeh, L’Invisible Fièvre, 2020, huile sur toile. Courtesy Nazanin Pouyandeh & galerie Sator D.R.

Nazanin Pouyandeh, L’Invisible Fièvre, 2020, huile sur toile. Courtesy Nazanin Pouyandeh & galerie Sator D.R.

La galerie Sator devait participer à Art Paris et à Drawing Now Art Fair. Mais, en raison de la crise sanitaire, ces foires n’ont pu se tenir ce printemps. Dans son espace de Komunuma, à Romainville, Vincent Sator présente donc un ensemble d’œuvres – de Raphaël Denis, Christian Gonzenbach, Evangelia Kranioti, Kokou Ferdinand Makouvia et Nazanin Pouyandeh – qui devaient être exposées sur les stands, ainsi qu’un focus sur Truc-Anh. En parallèle, l’enseigne consacre dans son espace du Marais un accrochage monographique à Nazanin Pouyandeh, artiste iranienne résidant en France et dont certaines toiles font écho à l’actualité récente. Leurs prix s’échelonnent de 3 000 à 28 000 euros.

« Secteur général », 6 juin-18 juillet 2020, 6 juin-18 juillet 2020, 43, rue de la Commune de Paris, 93230 Romainville, et « Nazanin Pouyandeh. J’ai été chassée du paradis », 8, passage des Gravilliers, 75003 Paris, galeriesator.com.

ExpositionsParis Gallery WeekendGalerie SatorKomunumaArt Paris Art FairDrawing Now Art FairNazanin Pouyandeh
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