Pour sa 7e édition, la Biennale d’art contemporain tunisienne fait la part belle à la photographie et à l’art vidéo, dans un contexte de crises sociale et politique qu’aucun artiste n’élude.

L’exposition « Et si Carthage ? » de Nidhal Chamekh est accueillie dans la nouvelle galerie de Selma Feriani à La Goulette, dans une scénographie mettant en valeur les lieux.

La 5e édition de Talan l’Expo réunit à Denden, dans la banlieue de Tunis, dix neuf artistes contemporains autour des métiers de la fibre et du textile.

Réuni à Riyad, en Arabie saoudite, le comité a décidé de protéger des sites anciens en Chine, en Iran, en Cisjordanie, le long de la Route de la soie ou encore en Tunisie. La Maison Carrée de Nîmes ainsi que la montagne Pelée et les pitons du Nord à la Martinique ont également été distingués.

L’institution texane ouvre six nouvelles salles pour présenter sa collection d’art islamique, coïncidant avec l’organisation d’un symposium dans cette spécialité.

Pour sa 6e édition, Jaou s’est spécialisé dans le domaine de la photographie et de la vidéo, une invitation à réfléchir sur les images après la révolution de 2011.

Peu considérée au sein de la création contemporaine, n’attirant que de rares collectionneurs, la peinture est portée à bras-le-corps en Tunisie par des artistes qui s’en servent souvent comme d’une arme et interrogent les arcanes de la représentation.

Ce site accueille les tombes de migrants qui ont perdu la vie en Méditerranée et qui n’ont pu, à ce jour, être identifiés.