L’acheteur, le collectionneur et cryptoinvestisseur Justin Sun, a immédiatement promis de manger la banane.

Si cette année, les Tuileries ne sont pas au rendez-vous, le programme public de la Foire, accessible à tous, gagne du terrain, notamment à Hôtel de la Marine et dans le Marais, grâce à un nouveau partenariat avec le Centre des monuments nationaux. De Takis à Carsten Höller, en voici un premier aperçu.

Fondée par Alexandra Fain, la foire d’art contemporain asiatique Asia NOW réunit 71 galeries à la Monnaie de Paris et propose une programmation festive pour son édition anniversaire.

Paul-Emmanuel Reiffers, fondateur et président du groupe international de communication Mazarine, actif dans le luxe, l’art et la mode, est aussi à l’origine de Reiffers Art Initiatives. Il présente pendant Art Basel Paris une exposition de Tarek Lakhrissi et de son mentor Ugo Rondinone.

La Foire, qui s’installe au Grand Palais pour cette édition, se déploie également dans plusieurs sites parisiens dont cinq nouveaux lieux, tels le Petit Palais ou le Palais-Royal.

Grâce à un don conjoint de la galerie et de dix-sept de ses artistes, vingt-trois œuvres entrent dans les collections du musée national d’Art moderne. Elles seront présentées à partir du 14 octobre 2024 dans le parcours des collections permanentes.

Le parcours d’art moderne et contemporain revient pour cet événement qui se tient du 24 au 26 mai 2024 dans plusieurs quartiers sur les deux rives de la Seine. En voici un premier aperçu.

La dernière œuvre de l’artiste, exposée par la méga galerie à Manhattan, a été réalisée en collaboration avec un stand de tir de Brooklyn.

L’enseigne internationale présentera dans ses espaces des expositions d’œuvres du sculpteur britannique à partir de l’automne prochain.

Sous la houlette de Nicolas Trembley, la Foire parisienne explore la manière dont les artistes contemporains, de Sheila Hicks à Jean-Marie Appriou, s’emparent des savoir-faire artisanaux.

La foire d’art contemporain retrouve presque son format d’avant la pandémie, mais des turbulences pourraient surgir, dans un contexte marqué, entre autres, par le ralentissement de la Chine.

Tom-David Bastok et Dylan Lessel poursuivront de leur côté, et sous leurs noms, l’exploitation de la galerie Perrotin du 8 avenue Matignon à Paris et celle de Dubaï.

Alors que sa deuxième édition, plus modeste, s’apprête à ouvrir ses portes du 19 au 21 janvier 2024, la foire espère se positionner comme la « plaque tournante naturelle » du marché de l’art dans la région Asie-Pacifique.

L’ouverture de la foire a donné lieu en Floride à des ventes rapides, même si les prix n’ont pas toujours été aussi élevés que les années précédentes.

L’artiste coréen, représenté par la galerie Perrotin, est décédé le 14 octobre 2023 à l’âge de 92 ans.

L’artiste franco-suisse, né en 1987, est désormais représenté par la galerie parisienne. Elle lui consacrera une exposition personnelle en avril 2024.

La faiblesse de l’économie post-Brexit et les coupes budgétaires brutales dans le financement des musées, des galeries et de l’enseignement artistique et des sciences humaines plongent le secteur dans une période d’incertitude.

Le galeriste et fondateur de l’enseigne conservera 40 % du capital, le reste étant cédé à la société Colony IM. Une opération qui vise à « continuer à faire grandir la marque, selon une vision de long terme ».

Roberts Projects et Hauser & Wirth s’installent dans deux anciens showrooms automobiles historiques de la Cité des anges, tandis que Lisson va réaménager un ancien sex-club gay. À l’occasion de Frieze LA, Perrotin a dévoilé brièvement son futur espace – un cinéma historique de Mid-City – dont l’ouverture officielle, après travaux, est prévue à l’automne 2023.

Après New-York, la galerie Perrotin expose à nouveau Anna-Eva Bergman à artgenève. Des œuvres qui évoluent vers une abstraction épurée.

Les deux Salons se tiennent cette semaine alors que des quarantaines d’une semaine dans des hôtels sont toujours exigées pour tous les arrivants internationaux et de Hongkong en Chine continentale.

Depuis le milieu des années 2000, l’artiste né en 1979 à Nassau (Bahamas) et installé à New York, construit une œuvre pluridisciplinaire sur les thèmes de l’invisibilité, de l’ethnocentrisme occidental et du déplacement. Parcours, vision artistique, projets... il explique comment il a conçu sa dernière trilogie d’expositions entre New York et Paris, dans les galeries Marian Goodman et Perrotin.